Le champ de l’Internet of Things (IoT), l’Internet des « choses », est particulièrement large. Selon l’Idate qui a publié fin août un rapport circonstancié sur la question, l’appellation recouvre le sous-secteur traditionnel des terminaux communicants, les communications de machine à machine (M2M) et, bien au-delà, la connexion de n’importe quel objet à l’Internet (Internet of Objects, IoO). Même si ces objets ne disposent pas des interfaces et logiciels requis pour une connexion directe au Web et passent, pour ce faire, par un terminal ou une passerelle intermédiaires. Le contexte étant posé, la société d’études de marché estime que 15 milliards de « choses » étaient déjà connectées à Internet en 2012, contre 4 milliards en 2010.
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